La ferme et ses produits constituaient une importante source alimentaire pour les nombreuses personnes qui habitaient à l’Hôtel-Dieu de Saint-Basile. Dans les années 1920, il y avait environ cent soixante-quinze pensionnaires, une cinquantaine de religieuses, des malades et des personnes retraitées, sans oublier le personnel de soutien et une vingtaine d’employés.