Toute jeune, Sophie avait appris de sa mère à tricoter, à tisser et à filer. Ayant une santé robuste, soeur Sophie aidait partout, à la buanderie, à la boulangerie, à la basse-cour et au jardin. Elle confectionnait même des oreillers et des matelas. Même si elle travaillait fort, elle aimait dire avec le sourire : J’irai jusqu’au bout. J’aurai l’éternité pour me reposer. Elle avait quatre-vingt-sept ans lorsqu’elle mourut en 1947. Photo prise vers 1920.